30 novembre 2016

À 25 ans ce parisien d’origine vivant dans le sud de la France depuis une dizaine d’années a participé à son premier Congrès du mouvement. Il est un des benjamins de ce week-end studieux et inspiré. Après des études d’ingénieur (aéronautique) à Nantes il a rejoint les chrétiens en grande école puis les jeunes pros du MCC à Aix-en-Provence. La vie d’équipe n’a pas de mystère pour lui. Le voyage dans la capitale s’imposait.


« Je suis venu pour rĂ©flĂ©chir. Et ça a marchĂ©. Je m’attendais Ă  repartir du rassemblement avec des rĂ©ponses. Je garde plutĂ´t de nouvelles questions, fort de l’approfondissement du thème proposĂ©. Â» Et l’accĂ©lĂ©ration dans son mĂ©tier oĂą il faut livrer le client sans tarder, il connaĂ®t ! « J’ai apprĂ©ciĂ© durant le Congrès le bel Ă©change du dimanche matin entre la salle et le sociologue Hartmut Rosa. L’ensemble des travaux a offert un vrai Ă©quilibre entre les apports en assemblĂ©e, groupes partiels et le temps de la rencontre, sinon de la dĂ©tente Â» souligne-t-il encore. Les jeunes pros avaient pu se retrouver le vendredi. ImpressionnĂ© durant la cĂ©lĂ©bration par la procession des prĂŞtres et des accompagnateurs d’équipes, Vianney rappelle l’importance pour se ressourcer d’un mouvement chrĂ©tien comme le MCC. « Nous avons la chance de pouvoir nous poser et de s’essayer Ă  une lecture chrĂ©tienne de l’entreprise et du monde du travail. Â» Pas toujours simple d’ailleurs.

Comment voit-il la suite ? « Un Congrès c’est aussi une occasion d’élargir et de relancer les Ă©quipes Â» espère-t-il. Bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas ralentir en ce domaine.

[/Robert Migliorini/]